Le 1er patrimoine religieux de notre commune s’incarne bien évidemment par notre Eglise St-Etienne, qui date probablement du 12ème siècle. Rattachée à l’abbaye de ST-Avold, elle était autrefois centre-mère de 6 villages, une ferme et 6 moulins. Les communes de Farébersviller, Seingbouse, Hombourg-bas, Cocheren et Ditschwiller ont dépendu de cette église-mère 6 siècles durant. L’augmentation des populations ont incité leurs habitants à se détacher peu à peu de son « joug », parfois à la suite de longs procès.
Réduite à néans, comme le reste du village, pendant la guerre de trente ans, elle a été reconstruite sur le même emplacement en 1723 et agrandie vers 1765.
Quelques dates ont marqué la vie religieuse de notre commune :
-Les orgues ayant déjà été confisquées par les Allemands, les tuyaux des orgues sont démontés par M Albert en 1943 et cachés chez M. Fotre.
En mai 1948 eut lieu la bénédiction des cloches de notre église (les anciennes ayant été confisquées par les Allemands durant la 2ème guerre Mondiale)
En décembre 1962 furent inaugurées les nouvelles orgues de l’église paroissiale ; cérémonie rehaussée par un concert des « Petits chanteurs à la croix de bois »
20 mai 1989, bénédiction du drapeau du Corps des Sapeurs-Pompiers à l’occasion de leur 60ème anniversaire, au cours d’un office solennel par l’abbé POESY, en présence de Madame Simone Ramsaier et M Jean Dreidemy, Marraine du corps et Parrain du drapeau.
En 1991, d’importants travaux facilitent et embellissent l’accès à notre l’église. On procède à l’éclairage du parvis et de l’allée principale et à la création d’un parking.
-Réception de Monseigneur Pierre RAFFIN, Evêque de Metz, à l’occasion de sa visite pastorale, le 06 Décembre 1992
D’autres lieux de cultes animent également la vie pastorale du village.
Une petite chapelle est aménagée à l’intérieur du presbytère. Noble bâtisse datant de 1703, sise dans un joli jardin arboré, en face de la Place de la Fontaine, elle abrite actuellement l’Abbé Jean-Marie Meyer.
La Chapelle Notre Dame de la Voie, rue de la Gare. A l’origine construite en structure métallique, et bénie en 1958, elle fût démolie en 1981 pour être reconstruite en dur en septembre 1984.
Les calvaires.
Ils sont aujourd’hui au nombre de quatre.
Le plus ancien (et le plus discret) est adossé à la maison du Pâtre, dans le jardin du presbytère.
Le plus monumental se trouve assurément à mi montée de la rue du Château d’eau.
A l’angle de la rue du Rocher et de la rue principale, un petit calvaire surmonte le talus herbeux.
Le dernier se situe tout au haut de la rue des Fleurs et offre une vue panoramique sur le bassin de Freyming-Merlebach.
